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LETHAL SPEECH
Les discours tenus ici, tuent à Gaza
« Car un enfant qui pleure, qu’il soit de n’importe où est un enfant qui pleure,
Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt.
Que c’est abominable d’avoir à choisir entre deux innocences... » Barbara.
Contact : lesmotstuent@lethalspeech.com
Note : la bêtise, l’injustice, la malhonnêteté intellectuelle tuent aussi…
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1. Le 7 octobre n’était qu’un début.
Le Hamas l’a promis : il recommencera. Pour Israël, le choix n’est pas stratégique, mais vital : éliminer le Hamas ou être éliminé.
2. « Du fleuve à la mer » n’est pas un appel à la paix.
Ce slogan n’exige pas un État palestinien — il appelle à la disparition pure et simple d’Israël.
3. Ces manifestations ne soutiennent pas les Palestiniens.
Elles récompensent le Hamas, responsable des civils morts, et l’encouragent à utiliser des boucliers humains. Elles sont antisémites, pas humanistes.
4. Une propagande bien rodée.
Grâce aux médias complaisants et à la manipulation sur les réseaux sociaux, ces cortèges enrôlent des naïfs qui croient militer pour le Bien — alors qu’ils servent une idéologie de haine.
5. Macron, complice de fait..
Après Vichy, l’antisémitisme d’État sous Emmanuel Macron sera une souillure durable sur l’histoire de France.
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Israël mène une guerre existentielle : pour récupérer ses otages et pour sa survie face à une organisation — le Hamas — qui, selon sa propre charte, vise l’extermination des Juifs et la destruction d’Israël.
Ce projet de mort est repris à l’unisson par ceux qui scandent « du fleuve à la mer ». Ils n’appellent pas à un État pour les Palestiniens, mais à rayer Israël de la carte.
Aucune pression diplomatique ou médiatique ne fera accepter à Israël sa propre disparition. Et ceux qui manifestent le savent très bien : ils ne défendent ni Gaza, ni les civils palestiniens. Ils défendent leur haine d’Israël, leur obsession antisémite.
Et ce faisant, ils incitent le Hamas à faire tuer encore plus de Gazaouis
Chaque jour, Emmanuel Macron ternit davantage la France en refusant de nommer le Hamas comme le principal coupable.
Et pourtant, la solution est là, simple : que ces voix prétendument indignées exigent du Hamas qu’il cesse ses crimes, qu’il libère Gaza et les otages.
Mais ils ne le feront pas. Parce qu’en réalité, ils ne veulent pas la paix.
Ils veulent la fin d’Israël. Peu leur importe qu’il s’agisse du seul refuge d’un peuple que l’Europe a tenté d’exterminer
À ceux qui défilent sous prétexte de justice, la réponse est claire :
« Vous n’êtes pas propalestiniens.
Vous êtes des as-sa-ssins. »
Des déclarations, des manifestations propalestiniennes quotidiennes. Pourquoi cette pression contre Israël est-elle mortifère ?