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LETHAL SPEECH
Les discours tenus ici, tuent à Gaza
« Car un enfant qui pleure, qu’il soit de n’importe où est un enfant qui pleure,
Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt.
Que c’est abominable d’avoir à choisir entre deux innocences... » Barbara.
Contact : lesmotstuent@lethalspeech.com
Note : la bêtise, l’injustice, la malhonnêteté intellectuelle tuent aussi…
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C’est assurément LA question préalable à tout propos concernant Israël et Gaza après le 7 octobre.
Et la réponse rapide est « c’est à cause de l’endoctrinement de la population gazaouie par le Hamas ».
Cette réponse est dramatiquement insuffisante.
Le Hamas a été élu par une partie importante de la population de Gaza, et gouverne depuis sans opposition.
Son projet n’est pas un fantasme : il est écrit noir sur blanc dans sa charte, disponible à tous ceux qui veulent la lire.
Ce projet est clair : éliminer Israël et exterminer les Juifs, partout dans le monde.
Ce que le 7 octobre a montré, ce n’est pas seulement la barbarie du Hamas.
C’est la profondeur d’un conditionnement collectif, dont le Hamas est l’architecte — mais dont beaucoup d’acteurs internationaux sont les complices silencieux, voire actifs.
Responsabilités partagées, silences coupables
L’ONU et l’UNRWA : des institutions devenues relais
L’UNRWA, supposée venir en aide aux réfugiés palestiniens, est devenue le canal principal de la radicalisation à Gaza.
Ses écoles diffusent les manuels scolaires du Hamas, où Israël n’existe pas sur les cartes.
On y glorifie les « martyrs », on y banalise la haine, on y enseigne que tuer des Juifs est un acte de résistance.
Plusieurs employés de l’UNRWA ont participé directement au massacre du 7 octobre. Ce n’est pas une dérive isolée, c’est le fruit d’années de complaisance, voire de collaboration idéologique.
Et que fait l’ONU ? Elle ferme les yeux, condamne Israël, se tait sur le Hamas, et appelle à la "désescalade"… comme si le 7 octobre n’avait jamais existé, comme s’il n’y avait pas d’otages affamés, torturés.
Les ONG humanitaires : MSF, HRW, Amnesty… et les angles morts volontaires
Médecins Sans Frontières, Human Rights Watch, Amnesty International : des ONG qui se veulent neutres mais qui, depuis des années, se taisent sur le totalitarisme islamiste à Gaza.
À force de nier les réalités, ces ONG ont protégé l’image du Hamas et contribué à sa légitimation.
Leur obsession à condamner Israël, systématiquement et exclusivement, a inversé les responsabilités dans l’opinion mondiale.
La France, l’Europe : la diplomatie du déni
La France et l’Union européenne ont, elles aussi, abandonné leur devoir de lucidité et de courage.
Pendant ce temps, des générations entières ont grandi à Gaza dans une culture de la haine, dans l’impunité, sous le regard indifférent, voire complice, de l’Occident.
Conclusion : le 7 octobre n’est pas un accident, c’est le résultat
Ce qui s’est produit ce jour-là n’est pas une "bavure", ni un simple "conflit".
C’est le produit final d’un système, cultivé depuis des décennies :
Tant que ces complicités ne seront pas reconnues, rien ne changera.
Et les « indignés professionnels » continueront de pleurer les morts… après avoir fermé les yeux sur ceux qui les ont rendus inévitables. Il sont, eux aussi, responsables de ces morts.
Quant à l’avenir de Gaza :
Une forte proportion des Gazaouis a été radicalisée au point de voir des foules en liesse devant les tortures et les assassinats, y compris d’enfants.
Nombre de pays, dont la France, ont contribué à cette radicalisation, directement ou par le biais de l’ONU, de leurs médias publics (dangereusement islamogauchistes en France), ou d’ONG, telles que MSF.
Il serait donc juste que ces pays accueillent temporairement une partie de cette population et participent à sa déradicalisation. Ainsi, au retour de cette population déradicalisée, la paix et une solution à deux états redeviendront possibles.
7 octobre 2023 - LA QUESTION PREALABLE
Comment des êtres humains ont-ils pu véritablement croire que torturer, violer, brûler, tuer des hommes, des femmes, des enfants, des bébés(!) faisait d’eux des héros ?