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LETHAL SPEECH

(Pierre MENDES FRANCE nous manque)


Les mots, les discours tuent !


Vocabulaire et culpabilité de l’Académie française :

L’Académie française est-elle coupable de fermer les yeux sur les attaques contre les valeurs occidentales quand elle ne s’occupe pas du langage, des mots, au point de laisser perdurer un vocabulaire ambigu responsable d’islamophobie insupportable et de violences mortelles ?


A l'interpellation « on veut encore rêver », que signifie la réponse « Plus de rêves !» ? Qu’on ne rêvera plus, ou bien à l’inverse « encore plus de rêves » ?

Bien souvent, le contexte ne laisse aucune ambiguïté sur la signification du mot « plus » qui peut vouloir dire une chose et son contraire


En revanche, le contexte manque presque toujours concernant le mot « Musulman » qui a deux, et seulement deux, significations et celles-ci sont opposés.


Un Musulman-prorépublicain-antiprosélyte (Musulman PRAP) et un Musulman-antirépublicain-prosélyte (Musulman ARP) ont-ils en commun des  Musulman ? Définitivement non, car le mot « Musulman », isolé, désigne sous un même vocable deux conceptions de la religion, de la tolérance, du respect de la vie, de la République, et du vivre-ensemble qui s’excluent mutuellement radicalement.

Et celui qui n’est pas antiprosélyte et se prétend républicain ?

Ça n’existe pas : celui qui n’est pas PRAP est forcément ARP !


Le musulman PRAP a plus à partager avec le Juif, le Chrétien, et tous les autres Français et non-Français, croyants ou non croyants, partageant nos valeurs occidentale, qu’avec le musulman ARP (et si ce n’est pas le cas, ce n’est pas un musulman PRAP)


Chaque musulman PRAP fait la France, est la France, sans distinction d’avec ceux des autres résidents français qui sont prorépublicains antiprosélytes. Toute expression de racisme envers lui, doit être réprimée avec férocité, avec des peines planchers dissuasives : la peur doit dissuader les racistes et les faire taire. Le racisme doit redevenir un délit réprimé et non une opinion dont on peut discuter. A celui qui affirme que cette répression n’est pas possible, il faut répondre qu’elle est possible. Mais si cette répression un jour n’était plus possible sous sa forme actuelle, il faudrait revenir à une répression sans indulgence et avec moins de bonnes manières, parce qu’il s’agit de notre liberté de penser, de notre liberté de parole, du droit de chacun à exister et à vivre en sécurité. L’honneur de la République, est de faire bénéficier de tous leurs droits les décapiteurs. La survie de la République peut nécessiter qu’il en soit autrement, sans que la République n’y perde une once de son honneur.


Chaque musulman ARP constitue un des pires dangers pour les civilisations occidentales démocratiques. Il ne peut pas être le bienvenu en France, quels que soient les périls qu’il encoure  ailleurs : offrir l’asile politique à un destructeur de la France est une folie.

Toute manifestation de son antirépublicanisme, de son prosélytisme doit le faire expulser, exclure de notre société.

Celui qui fait une remarque à une personne buvant une bière en terrasse durant le ramadan met en danger de mort toute la République et doit être exclu (expulsé, enfermé…) de la République pour 20 ans au moins.

De même pour celui qui fait une remarque vestimentaire.

Une seule exception: le prosélytisme à l’intérieur des lieux de culte, à condition qu’il respecte parfaitement la République, qu’il prodigue des conseils sur une pratique religieuse conforme à la vie républicaine, et qu’il n’adresse jamais un reproche à une personne en particulier (ce qui n’empêche pas d’interdire les tenues incorrectes, les boissons, toute insulte à la religion dans les lieux de culte).


Et le blasphème ? Celui qui veut l’interdire doit quitter la France.

Et la profanation ? Il ne s’agit plus de se moquer d’une religion, mais d’en défier les croyants, de les provoquer, de les blesser. La motivation de celui qui profane ne peut être que malsaines, et interdire la profanation n’enlèvera rien à la liberté d’expression. Si certains exposent des motivations non malsaines, la discussion sera ouverte.

Et l’immigration ?

Toute personne réellement en péril doit évidemment pouvoir trouver asile, à condition… A condition que sa venue ne mette pas notre société en péril. Cela exclut les musulmans ARP, les antisémites, les auteurs de délits et de crimes sur notre territoire (à l’exclusion des délits justifiés par la seule légitime nécessité : celui qui vole du pain pour nourrir sa famille ne peut pas être expulsé pour cela, et il nous interroge sur notre façon de donner asile).



                 Amis Musulmans, on ne vous entend pas ! ..

                      …Mais on vous comprends. Cliquez ici.